Rappel des derniers événements
Le groupe composé de Clara, Max, Amélie, et Galdor travaille d’arrache-pied pour créer une machine combinant science et magie afin de stabiliser la communication entre les deux mondes via un portail. En parallèle, Max et Clara établissent un camp scientifique dans le monde 1 près de la faille, alimenté par des panneaux solaires et une éolienne. Cependant, une explosion détruit les panneaux solaires, conduisant Amélie à chercher de l’aide chez Galdor, un ingénieur nain, pour créer une turbine magique. Alors que leurs efforts portent enfin leurs fruits et stabilisent la liaison entre les mondes, une équipe gouvernementale du monde 2 détecte des niveaux d’énergie anormaux, capture Max et surveille Clara, obtenant des preuves de l’existence du portail. Cette découverte menace de dévoiler le secret du passage entre les mondes, posant de nouveaux défis à nos protagonistes.
Amélie et Lilia, les sœurs elfes, décidèrent d’aller voir le jeune roi elfe Aldarian pour lui expliquer la situation. Elles savaient que son autorité et ses ressources pourraient être cruciales pour sécuriser la faille et les aider à retrouver Max.
Amélie : « Lilia, nous devons parler à Aldarian. Il saura quoi faire et pourra mobiliser des ressources pour nous aider. »
Lilia : « Tu as raison, Amélie. J’espère juste qu’il comprendra l’urgence de la situation. »
Pendant ce temps, Skarn et Clara retournèrent dans le monde 1 afin d’essayer de retrouver Max et de comprendre ce qui s’était passé avec le campement. En avançant prudemment dans la forêt, Skarn partagea ses intuitions avec Clara.
Skarn : « Clara, j’ai un mauvais pressentiment. Je pense que nous avons peut-être été découverts. Nous devons faire attention. »
Clara : « Oui, tu as peut-être raison. Le fait que tout ait disparu aussi soudainement est inquiétant. Mais nous devons aussi rester concentrés pour retrouver Max. »
Sous le couvert des arbres, ils avancèrent avec prudence, leurs sens aiguisés et l’esprit alerte, prêts à affronter toute menace qui pourrait surgir. Les sœurs elfes, de leur côté, arrivèrent enfin à la cour du roi Aldarian, espérant obtenir son aide précieuse.
Amélie : « Votre Majesté, merci de nous recevoir. Nous avons une situation urgente à vous exposer. »
Aldarian : « Parlez, Amélie. Que se passe-t-il ? »
Lilia : « La faille entre notre monde et le monde 2 a été compromise. Nous avons perdu le contact avec Max, et nous craignons que des forces hostiles ne soient en jeu. »
Aldarian suggère de faire appel aux nains pour leur expertise en ingénierie et en tactique militaire. Amélie et Lilia montent une expédition vers les montagnes pour rencontrer Galdor, un ingénieur nain respecté, et lui demander son aide pour mettre en place des défenses autour de la faille. Pendant ce temps, Skarn et Clara découvrent des indices menant à une cachette possible où Max pourrait être retenu.
Aldarian suggère de faire appel aux nains pour leur expertise en ingénierie et en tactique militaire. Amélie et Lilia montent une expédition vers les montagnes pour rencontrer Galdor, un ingénieur nain respecté, et lui demander son aide pour mettre en place des défenses autour de la faille. Pendant ce temps, Skarn et Clara découvrent des indices menant à une cachette possible où Max pourrait être retenu.
Aldarian : « Les nains de la montagne nous doivent une faveur. Leur expertise pourrait être décisive pour sécuriser la faille. »
Amélie : « Très bien, nous partirons immédiatement. »
Lilia : « Ce sera bien de revoir Galdor. Il saura nous aider. »
Amélie et Lilia prirent la route vers les montagnes, leur trajet étant marqué par des discussions sur la meilleure manière de convaincre Galdor et les siens. Pendant ce temps, Skarn et Clara continuèrent leurs recherches dans la forêt près de la faille. En fouillant les environs, ils trouvèrent des traces de pas et quelques objets abandonnés, y compris un carnet appartenant à Max.
Skarn : « Regarde ça, Clara. Ces notes… elles peuvent nous conduire à lui. »
Clara : « On dirait que Max a laissé des indices derrière lui. Allons-y, il ne doit pas être loin. »
Les deux groupes avancèrent avec détermination, chacun jouant son rôle pour résoudre cette crise. Amélie et Lilia arrivèrent enfin à la porte de la ville souterraine des nains, espérant que Galdor serait prêt à les aider.
Amélie : « Galdor! Nous devons te parler de toute urgence. »
Aldarian avait également conseillé de contacter Grimnir, l’espion d’élite des nains. Grimnir avait été instrumental dans la libération de Lilia et des autres elfes, et avait aidé à reprendre le contrôle de la région de Valguar, abolissant l’esclavage des elfes dans cette cité humaine maintenant occupée par les nains.
Aldarian : « Amélie, Lilia, je vous conseille également de rencontrer Grimnir. Son expertise nous sera précieuse. »
Amélie : « Nous aurons plus de poids si Grimnir est avec nous. Lilia, nous devons le trouver. »
Lilia : « Oui, Amélie. Grimnir est d’une aide inestimable. En route. »
Lorsqu’elles arrivèrent à la cité souterraine, elles furent accueillies par Galdor. Le nain leur fit signe de le suivre dans une salle de réunion éclairée par des cristaux lumineux.
Galdor : « Amélie, Lilia, cela fait longtemps. Quelle est cette urgence dont vous parlez ? »
Amélie : « La faille entre notre monde et le monde 2 est en danger. Nous avons perdu contact avec Max, notre allié humain, et nous craignons que des forces hostiles ne soient en jeu. Nous avons besoin de votre expertise pour sécuriser la faille. »
Lilia : « Aldarian a également suggéré que nous trouvions Grimnir. Son aide serait inestimable. »
Galdor : « Grimnir est ici, en effet. Je vais l’appeler immédiatement. En attendant, nous pouvons commencer à discuter d’un plan. »
Pendant ce temps, Skarn et Clara suivaient les indices laissés par Max. Les notes semblaient les mener vers une ancienne cabane abandonnée en plein cœur de la forêt.
Skarn : « Clara, regarde ça. C’est la cabane dont Max parlait dans son carnet. »
Clara : « Il doit être là-dedans. Espérons qu’il est en sécurité. »
Ils approchèrent prudemment, conscients que toute imprudence pourrait compromettre leur mission. Revenons à la cité souterraine, Grimnir arriva dans la salle de réunion, une expression déterminée sur le visage.
Grimnir : « Amélie, Lilia, qu’est-ce que je peux faire pour vous ? »
Skarn et Clara arrivèrent enfin à la cabane en gros rondins de bois, avec de la mousse verdâtre couvrant le toit. Un léger brouillard commençait à se lever, rendant l’endroit encore plus mystérieux et inquiétant. La maison semblait fermée de l’extérieur, sans aucun signe de mouvement à l’intérieur.
Skarn : « Je vais regarder par la fenêtre, il doit y avoir un moyen de savoir s’il est à l’intérieur. »
Clara, son cœur battant à la chamade, se tenait à côté de Skarn pendant qu’il essayait de voir à travers les vitres poussiéreuses. Ils ne trouvèrent aucune trace de Max à l’intérieur. Clara commença alors à montrer des signes visibles d’inquiétude.
Clara : « Il n’est pas là… Skarn, et si quelque chose de grave lui était arrivé ? Nous devons agir vite! »
Skarn : « Ne t’inquiète pas, Clara. Nous allons le retrouver. Regardons autour de la cabane, il pourrait avoir laissé un autre indice. »
Ils commencèrent à faire le tour de la cabane, scrutant le sol et les environs pour trouver des signes de passage ou tout autre indice qui pourrait leur révéler où Max avait été emmené.
Pendant ce temps, dans la cité souterraine des nains, Amélie et Lilia se préparaient à exposer la situation à Grimnir, désormais présent.
Amélie : « Grimnir, la faille entre notre monde et le monde 2 est en danger. Nous avons perdu le contact avec Max, notre allié humain, et des forces hostiles semblent être à l’œuvre. »
Lilia : « Nous avons besoin de votre expertise pour sécuriser la faille et protéger notre monde de cette menace. »
Grimnir : « Je comprends. Nous devons agir sans tarder. Nous allons mobiliser nos meilleurs espions et ingénieurs pour sécuriser la faille. Galdor, nous aurons besoin de toi pour les défenses techniques. »
Galdor : « Comptez sur moi. Nous allons mettre en place des dispositifs de sécurité magique et mécanique. »
Ensemble, ils commencèrent à élaborer un plan détaillé pour protéger la faille et récupérer Max.
Dans le monde 2, la DGSE révèle sa présence à Skarn et Clara près de la cabane. Un agent en costume les aborde, expliquant qu’ils détiennent Max et possèdent des preuves de l’existence d’une faille, montrant des photos de Clara. L’agent les invite à suivre, sous certaines conditions. Skarn et Clara acceptent. Un protocole de transport sécurisé est mis en place pour conduire les deux civils à la base secrète.
Pendant ce temps, dans le monde 1, après une réunion, nains et elfes érigent rapidement une imposante barrière métallique autour de la faille. Des gardes armés de fusils à énergie magique bleutée la surveillent. Une expédition se prépare à traverser, incluant le roi elfe, désireux de découvrir l’autre monde. C’est la première incursion officielle du peuple du monde 1 de l’autre côté, bien que Lilia et Amélie y soient déjà allées auparavant.
Près de la cabane, la DGSE révéla sa présence à Skarn et Clara. Un agent en costume, l’air sérieux, les aborda.
Clara : « Qui êtes-vous et que voulez-vous? »
Agent DGSE : « Nous sommes de la DGSE. Nous détenons Max et avons des preuves de l’existence d’une faille entre les mondes. Regardez ces photos. » L’agent sortit des photos montrant clairement Clara traversant la faille.
Skarn : « Que voulez-vous de nous? »
Agent DGSE : « Nous vous invitons à nous suivre, sous certaines conditions. Votre collaboration pourrait faciliter la libération de Max. »
Après un bref échange de regards, Skarn et Clara acceptèrent. Un protocole de transport sécurisé fut rapidement mis en place pour conduire les deux civils à la base secrète de la DGSE.
Pendant ce temps, dans le monde 1, après une réunion entre nains et elfes, une imposante barrière métallique fut rapidement érigée autour de la faille. Des gardes armés de fusils à énergie magique bleutée surveillaient la zone.
Grimnir : « La barrière est en place. Rien ne passera sans notre permission. »
Aldarian : « Bien. Nous devons maintenant préparer notre expédition. Je veux découvrir ce nouvel autre monde de mes propres yeux. »
Une expédition se prépara à traverser, incluant le roi elfe Aldarian. Cette première incursion officielle du peuple du monde 1 dans le monde 2 allait être un moment historique, bien que Lilia et Amélie y soient déjà allées auparavant.
Amélie : « Soyons prudents. Le monde de l’autre côté est plein de dangers inattendus. »
Lilia : « Je suis d’accord. Mais ensemble, nous pouvons surmonter tout ce qui pourrait nous attendre. »
Avec détermination, l’expédition traversa la faille, prêts à affronter les défis du monde 2 et à retrouver Max.
Aldarian traverse la faille pour la première fois. L’expérience est désagréable pour lui, ressentant froid et viscosité. Grimnir, de son côté, ne ressent qu’un léger frisson. Galdor reste dans le monde d’origine pour assurer la défense.
Amélie accompagne le roi et l’espion elfe. Pour elle, habituée aux traversées, le passage est aisé, comparable à l’ouverture d’une grande porte. À leur arrivée, ils ne trouvent personne, sans trace de Lilia ou Skarn. Amélie tente de communiquer mentalement avec sa sœur, une capacité propre aux membres d’une même famille elfe, mais sans succès. Son inquiétude grandit. Grimnir découvre des traces.
Pendant ce temps, Skarn et Clara retrouvent Max dans une cellule confortable de la DGSE. Bien que réunis, ils sont désormais prisonniers et doivent répondre à des interrogations. S’ensuivent plusieurs jours de discussions entre eux et un groupe gouvernemental. Skarn, le plus expérimenté concernant les failles, révèle suffisamment d’informations pour attiser la curiosité des agents et scientifiques présents lors de cette conférence secrète, sans pour autant tout dévoiler.
Aldarian traversa la faille pour la première fois. L’expérience fut désagréable pour lui, ressentant une sensation de froid et de viscosité qui le fit frissonner. Grimnir, de son côté, ne ressentit qu’un léger frisson. Galdor resta dans le monde 1 pour assurer la défense.
Amélie accompagnait le roi et l’espion nain. Habituée aux traversées, le passage lui était aisé, comparable à l’ouverture d’une grande porte. À leur arrivée dans le monde 2, ils ne trouvèrent personne, sans trace de Lilia ou Skarn.
Amélie : « Où peuvent-ils être ? Je vais essayer de communiquer mentalement avec ma sœur. »
Amélie tenta de communiquer mentalement avec sa sœur, une capacité propre aux membres d’une même famille elfe, mais sans succès. Son inquiétude grandit. Pendant ce temps, Grimnir découvrit des traces qui semblaient accidentelles ou délibérément laissées pour les guider.
Grimnir : « Regardez ici, Amélie. Ces traces. Ils vont peut-être nous mener quelque part. »
Pendant ce temps, Skarn et Clara retrouvèrent Max dans une cellule confortable de la DGSE. Bien que réunis, ils étaient désormais prisonniers et devaient répondre à des interrogations. Plusieurs jours de discussions s’ensuivirent entre eux et un groupe gouvernemental.
Skarn, le plus expérimenté concernant les failles, révéla suffisamment d’informations pour attiser la curiosité des agents et scientifiques présents lors de cette conférence secrète, sans pour autant tout dévoiler.
Agent DGSE : « Vous en savez plus que vous ne le dites, Skarn. Parlez-nous des propriétés exactes de la faille. Quelle menace représente-t-elle? »
Skarn : « La faille est un passage entre nos mondes. Mal utilisée, elle peut devenir extrêmement dangereuse. Mais nos intentions ne sont pas hostiles. Nous voulons juste comprendre et protéger. »
Max : « Ils disent la vérité. Tout ce que nous voulons, c’est préserver nos mondes respectifs et assurer la sécurité de tous. »
Clara : « Même si nous coopérons, il est crucial que vous compreniez les implications et la complexité de cette faille. »
Le groupe de la DGSE, bien que sceptique, semblait de plus en plus intéressé par les aspects scientifiques et les potentialités de la faille, laissant une légère ouverture à une coopération future.
Amélie, Grimnir et Aldarian continuèrent à suivre les traces dans l’espoir de retrouver leurs amis et en apprendre davantage sur ce qui s’était passé. Pleins de détermination, ils avancèrent dans cette découverte du monde 2, tout en restant sur leurs gardes.
Des agents, toujours en poste aux abords de la faille, furent stupéfaits de voir surgir des nains et des elfes. La scène leur parut irréelle. Immédiatement, ils contactèrent leurs supérieurs pour obtenir des instructions, se demandant s’ils devaient révéler leur présence ou rester cachés.
Les agents, après avoir contacté leurs supérieurs, reçurent l’ordre d’intervenir et de capturer les elfes et les nains pour interrogatoire. Avec prudence, ils s’approchèrent du groupe, armes levées.
Agent DGSE : « Ne bougez pas ! Vous êtes en état d’arrestation. Nous devons vous interroger. »
Aldarian : « Qu’est-ce que cela signifie ? Nous ne sommes pas ici pour combattre. »
Amélie : « Nous devons rester calmes. Nous ne voulons pas aggraver la situation. »
Grimnir : « Très bien, nous vous suivrons. Mais vous devriez écouter ce que nous avons à dire. »
Les agents conduisirent le groupe d’elfes et de nains à la base secrète de la DGSE, où ils furent placés dans des cellules séparées, tout en leur assurant que ce n’était que pour des raisons de sécurité.
Pendant ce temps, Skarn, Max et Clara continuaient leurs discussions avec les agents de la DGSE.
Agent DGSE : « Skarn, il semble que non seulement vous connaissiez l’existence de la faille, mais que d’autres viennent de l’autre côté. Qui sont-ils et quelles sont leurs intentions ? »
Skarn : « Ce sont des alliés venus pour nous aider à protéger la faille et à comprendre ses mécanismes. Nous devons travailler ensemble pour éviter toute menace potentielle. »
Clara : « Si nous ne coopérons pas, cela pourrait mettre en danger les deux mondes. Nous devons parvenir à un accord. »
Les agents de la DGSE commencèrent à comprendre la gravité de la situation et la nécessité de coopérer. Mais ils avaient besoin de garanties sur les intentions des nouveaux arrivants.
Agent DGSE : « Nous devons interroger vos amis pour clarifier la situation. Nous organiserons une réunion pour discuter des prochaines étapes. »
Un paragraphe est consacré à Aldarian qui se présente.
Un autre paragraphe décrit Grimnir, qui ne prononce pas un mot, étant un espion entraîné à résister aux interrogatoires.
Amélie et Lilia se présentent également, chacune dans un paragraphe distinct.
Aldarian se tenait droit, faisant face à ses interrogateurs avec une dignité et une autorité naturelle. Il prit la parole d’une voix claire et ferme.
Aldarian : « Je suis Aldarian, Roi du peuple elfe de Valandor. Nous avons observé la faille et avons reconnu sa potentielle dangerosité. Notre intention est de protéger nos deux mondes et de garantir que cette faille ne soit pas exploitée à des fins malveillantes. Vous devez comprendre que notre venue ici est motivée par la paix et la coopération. »
Grimnir resta silencieux tout au long de l’interrogatoire. En tant qu’espion d’élite, il était formé pour résister à toutes les formes de questionnement. Ses yeux perçants étudiaient chaque mouvement et chaque mot de ses interrogateurs, cherchant à comprendre leur stratégie et leurs intentions sans se trahir par un seul mot.
Amélie prit une profonde inspiration avant de parler. Elle savait que la situation était délicate et que chaque mot comptait.
Amélie : « Je suis Amélie, sœur aînée de Lilia et émissaire de notre peuple. Je comprends vos inquiétudes, mais je vous assure que nous ne sommes pas une menace. La faille est un passage fragile que nous devons protéger ensemble. Notre but est de préserver l’équilibre entre nos mondes afin d’éviter toute catastrophe. »
Lilia se sentait légèrement nerveuse, mais l’idée de protéger son monde et celui de sa sœur lui donnait du courage. Elle regarda ses interrogateurs avec détermination.
Lilia : « Je suis Lilia, sœur cadette d’Amélie. J’ai personnellement souffert des conflits de notre monde, et je ne souhaite qu’une chose : la paix. La faille est une porte vers des opportunités et des dangers. Nous devons travailler ensemble pour contrôler et sécuriser ce passage afin d’assurer la sécurité de tous. »
Le gouvernement français est informé de la situation. Le président Étienne Dumont, accompagné de son ministre des Affaires étrangères et d’un diplomate chevronné, se rend sur place pour s’entretenir avec le roi elfe. Leur discussion s’étend longuement sur les perspectives d’échanges commerciaux et l’établissement d’une voie de communication sécurisée entre les deux mondes.
Suite à ces négociations, un traité est signé avec le souverain elfique. Celui-ci prévoit l’envoi d’une équipe de scientifiques dans le monde elfique, escortée par un petit contingent militaire. Conformément à l’accord, ces expéditions seront confinées à la forêt.
Une fois les termes du traité établis, tous les individus précédemment retenus sont libérés et raccompagnés à la faille interdimensionnelle. Les véhicules de Skarn et Max/Clara, ainsi que la caravane, leur sont restitués.
Le gouvernement français fut rapidement informé de la situation. Le président Étienne Dumont, accompagné de son ministre des Affaires étrangères et d’un diplomate chevronné, se rendit sur place pour s’entretenir avec le roi elfe Aldarian. Leur discussion s’étendit longuement sur les perspectives d’échanges commerciaux et l’établissement d’une voie de communication sécurisée entre les deux mondes.
Président Dumont : « Roi Aldarian, nous reconnaissons l’importance de la faille et les opportunités qu’elle représente. Nous sommes prêts à discuter des termes pour assurer la sécurité et la coopération entre nos deux mondes. »
Aldarian : « Nous partageons vos préoccupations, Président Dumont. Nos intentions sont pacifiques, et il est essentiel que nous travaillions ensemble pour éviter tout conflit et protéger nos peuples. »
Après plusieurs heures de négociations, un traité fut signé avec le souverain elfique. Celui-ci prévoyait l’envoi d’une équipe de scientifiques français dans le monde elfique, escortée par un petit contingent militaire. Conformément à l’accord, ces expéditions seraient confinées à la forêt.
Président Dumont : « C’est avec plaisir que nous signons ce traité historique. Nous espérons que nos deux mondes prospéreront grâce à cette nouvelle alliance. »
Aldarian : « Nous y veillerons. Que cette nouvelle amitié entre nos peuples soit durable. »
Une fois les termes du traité établis, tous les individus précédemment retenus furent libérés et raccompagnés à la faille interdimensionnelle. Les véhicules de Skarn et Max/Clara ainsi que la caravane leur furent restitués.
Skarn : « Enfin, nous sommes de retour. Merci pour votre patience et votre collaboration. »
Clara : « Oui, c’est un nouveau départ pour nos deux mondes. »
Max : « Nous avons beaucoup à apprendre et à partager. »
Tandis que l’équipe scientifique et le contingent militaire se préparaient à traverser la faille pour leur mission dans le monde elfique, Amélie, Lilia, Grimnir et Aldarian demeuraient vigilants. Leur objectif restait de protéger leur monde tout en favorisant cette nouvelle alliance.
Après la signature du traité, Skarn retourne chez ses parents dans l’est de la France, car cela fait plus de douze ans qu’il ne les a pas vus. Max et Clara sont invités à rejoindre l’équipe scientifique française en tant que membres prioritaires, car malgré leur jeune âge et leur statut d’étudiants, ils sont les seuls à avoir découvert la faille et à permettre sa visibilité et son passage. De plus, ils ont créé un système de communication intermondes, une première ! Les elfes (le roi, Amélie et Lilia) ainsi que Grimnir repartent avec le contingent militaire et scientifique (dont font désormais partie Max et Clara) dans le monde 1. Leur mission initiale est de retirer la grande muraille de métal protégeant l’entrée et d’y établir un camp militaire et scientifique moderne pour les Français du monde 2.
Après la signature du traité, Skarn décida de retourner chez ses parents dans l’est de la France, puisqu’il ne les avait pas vus depuis plus de douze ans. De leur côté, Max et Clara furent invités à rejoindre l’équipe scientifique française en tant que membres prioritaires. Malgré leur jeune âge et leur statut d’étudiants, ils étaient les seuls à avoir découvert la faille et à permettre sa visibilité et son passage. De plus, ils avaient créé un système de communication intermondes, une première !
Les elfes — le roi Aldarian, Amélie et Lilia — ainsi que Grimnir repartent avec le contingent militaire et scientifique (dont font désormais partie Max et Clara) dans le monde 1.
Leur mission initiale était de retirer la grande muraille métallique protégeant l’entrée et d’y établir un camp militaire et scientifique moderne pour les Français du monde 2.
Grimnir surveillait attentivement la procédure de démantèlement de la muraille, s’assurant que toutes les lignes de défense elfes et naines étaient prêtes à réagir en cas d’urgence.
Grimnir : « Nous devons rester vigilants. Toute intrusion pourrait mettre en péril cette fragile alliance. »
Amélie : « Nous sommes tous unis dans ce projet. Nous devons travailler main dans la main pour assurer la sécurité et la prospérité de nos deux mondes. »
Lilia : « C’est une nouvelle ère pour nous tous. J’espère que cette coopération portera ses fruits. »
Max : « Nous avons beaucoup de travail devant nous, mais je suis confiant. Ensemble, nous surmonterons les défis à venir. »
Clara : « Notre système de communication intermondes sera crucial pour coordonner nos efforts. C’est une immense responsabilité, mais je suis prête. »
Le camp militaire et scientifique fut rapidement établi, avec une infrastructure moderne et des installations de recherche de pointe. Les Français du monde 2 s’installèrent dans la forêt elfe, créant un lien tangible entre les deux mondes.
Raconte sous la forme d’un récit la construction du camp, l’arrivée de nouvelles marchandises depuis la France dans l’optique de créer un marché avec le monde 1 et d’obtenir en échange du minerai et des ressources considérées comme de luxe en France. Les deux mondes sont contents de ces échanges mutuels.
Il y a une conversion de la monnaie (sachant que les nains, les elfes et les humains du monde 1 utilisent tous la même monnaie, sous la forme de pièces de cuivre, d’argent et d’or, avec une correspondance égale à 100 pièces de cuivre = 1 pièce d’argent et 100 pièces d’argent = 1 pièce d’or) à la faille avec la mise en place de postes de douane comme un contrôle de frontière. Seuls les personnages présents lors du traité peuvent aller dans le monde 2.
Nom de la Monnaie | Équivalent en Monnaies Françaises | Conversion |
---|---|---|
Cuivre Lunaire | 0,01 € | 1 Cuivre Lunaire = 0,01 € |
Argent Lunaire | 1,00 € | 100 Cuivres Lunaires = 1 Argent Lunaire = 1,00 € |
Or Lunaire | 100,00 € | 100 Argents Lunaires = 1 Or Lunaire = 100,00 € |
Au cours des cinq années suivantes, la construction du camp dans le monde 1 marqua le début d’une nouvelle ère de collaboration entre les deux mondes. Sous la supervision attentive des elfes, des nains et des humains du monde 1, les Français érigèrent des installations modernes alliant technologie avancée et respect des traditions locales. Le roi elfe Aldarian, Amélie, Lilia et Grimnir observaient avec intérêt la progression des travaux, tandis que Max et Clara apportaient leur expertise scientifique pour adapter les structures aux particularités du nouveau monde.
Dès le début, les échanges entre les deux mondes furent une réussite. Des cargaisons de nouvelles marchandises arrivaient régulièrement de France, soigneusement sélectionnées pour plaire aux habitants du monde 1. Ces biens incluaient des produits de consommation courante, des outils et des objets de luxe. En échange, le monde 1 fournissait des minerais rares et des ressources considérées comme des luxes en France, comme des pierres précieuses et des herbes médicinales uniques.
Des postes de douane furent installés à la faille, fonctionnant comme des postes de contrôle aux frontières. Les gardes vérifiaient les marchandises et convertissaient la monnaie française en pièces de cuivre, d’argent et d’or utilisées uniformément par les nains, les elfes et les humains du monde 1. La conversion simple facilita les transactions et renforça la confiance mutuelle.
Seuls les individus présents lors de la signature du traité étaient autorisés à traverser la faille vers le monde 2. Ce privilège exclusif leur permettait de naviguer librement entre les deux réalités, renforçant les liens diplomatiques et commerciaux entre les mondes.
Grâce à ce système, les échanges commerciaux prospérèrent, ouvrant de nouvelles opportunités pour les deux mondes. Le camp militaire et scientifique installé dans la forêt elfe devint un centre névralgique pour la recherche et l’innovation. Les scientifiques français travaillèrent en étroite collaboration avec les érudits elfes et nains pour explorer les propriétés uniques de la faille et développer de nouvelles technologies basées sur la magie et la science.
Les résultats furent impressionnants. De nouvelles méthodes de communication interdimensionnelle furent mises au point, permettant des échanges d’informations rapides et efficaces entre les deux mondes. Les avancées scientifiques permirent également d’améliorer la qualité de vie des habitants du monde 1, avec l’introduction de nouvelles technologies médicales et agricoles.
De son côté, le monde 2 bénéficia des ressources uniques disponibles dans le monde 1. Les minerais rares et les herbes médicinales permirent de réaliser des avancées significatives dans les domaines de la médecine, de l’industrie et de la technologie. Les échanges culturels enrichirent également les deux mondes, favorisant une compréhension mutuelle et le respect des différences.
Le roi Aldarian, Amélie, Lilia et Grimnir jouèrent un rôle crucial dans cette réussite. Ils veillèrent à ce que les relations entre les deux mondes restent équitables et bénéfiques pour tous. Leur vigilance permit de résoudre rapidement les conflits potentiels et d’assurer une coopération harmonieuse.
Max et Clara, grâce à leur système de communication intermondes et leur expertise scientifique, furent reconnus comme des pionniers de cette nouvelle ère. Leur contribution à la stabilité et à la prospérité des relations entre les deux mondes fut inestimable.
Cinq ans après la signature du traité, la coopération entre les mondes 1 et 2 était florissante. Les échanges commerciaux et culturels avaient transformé la vie des habitants des deux mondes, inaugurant une ère de paix et de prospérité. La faille, autrefois perçue comme une menace potentielle, était désormais un symbole d’unité et de collaboration, reliant deux mondes et deux civilisations dans une quête commune de connaissance et de progrès.
Avec l’aide des elfes, la base scientifique des humains dans le monde 1 a considérablement changé au fil des ans. Ce qui avait commencé comme une installation moderne typique s’est transformé en une merveille architecturale, mêlant harmonieusement la technologie avancée des humains avec l’esthétique enchanteresse des elfes. Les structures élégantes en bois et pierre, ornées de motifs naturels et éclairées par des sources de lumière magique, cohabitent avec les équipements de pointe des scientifiques français. Ce mélange unique d’architecture elfique et de technologie humaine symbolise parfaitement la fusion des deux mondes, créant un environnement à la fois fonctionnel et magnifique, où la nature et l’innovation coexistent en parfaite harmonie.
5 ans supplémentaires se sont écoulées. Dans le Monde 1, le traité entre le roi elfe et la France a connu une évolution significative avec l’adhésion du roi nain et de son peuple. Pendant ce temps, dans le Monde 2, la France a pris la décision cruciale de révéler l’existence de la faille au reste du monde.
Le prochain chapitre 11, se concentrera sur cette révélation historique. Il explorera en détail les multiples répercussions, tant positives que négatives, que cette divulgation pourrait entraîner sur la scène mondiale.
Cinq années se sont écoulées, marquant une période de changements significatifs. Dans le Monde 1, le traité entre le roi elfe Aldarian et la France a connu une évolution majeure avec l’adhésion du roi nain et de son peuple. Cette alliance tripartite a considérablement renforcé les relations commerciales et culturelles entre les deux mondes, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités et ressources. L’expertise des nains en ingénierie et métallurgie a catalysé des avancées technologiques sans précédent, bénéficiant tant aux habitants du Monde 1 qu’aux chercheurs français.
Parallèlement, dans le Monde 2, la France a pris la décision cruciale de révéler l’existence de la faille au reste du monde. Cette annonce historique, minutieusement préparée en collaboration avec les alliés du Monde 1, vise à présenter cette découverte comme une opportunité unique de développement scientifique, économique et culturel mutuel.