La quête des fragments d’héritage 2 - Zandoria
Rappel des derniers événements
Dans le chapitre précédent, Lilia arrive dans le monde de Guldria et rencontre Arthur, un habitant local qui, effrayé par le nom de Norath, s’enfuit. Guidée par le cristal magique, Lilia découvre les montagnes où réside le dragon. Avant de partir, elle rencontre Roknar qui tente de la dissuader, mais lui donne une fiole prétendument d’antidote. Plus tard, Norath révèle la véritable nature de la fiole : un poison, et lui explique la dictature de Roknar.
Avec courage, Lilia retourne au village, exposant les mensonges de Roknar et libère les villageois de sa tyrannie. Elle retourne ensuite auprès de Gloriana avec le premier fragment, et reçoit un nouveau cristal pour activer un portail menant au monde désertique de Zandoria, où de nouveaux défis l’attendent.
Le paysage devant elle était complètement différent de tout ce qu’elle avait vu auparavant. De vastes dunes de sable s’étendaient à perte de vue, et le soleil brûlant dominait un ciel sans nuages. Lilia savait que de nouveaux défis l’attendaient dans cette terre aride, mais elle était prête à les relever.
Elle regarda autour d’elle, cherchant un indice sur ce qu’elle devait faire ensuite. Le désert semblait infini, et elle ne voyait aucun signe de vie. Mais elle savait qu’elle ne devait pas se laisser décourager. Elle devait trouver un moyen de survivre dans ce monde hostile et de trouver le prochain fragment.
Lilia commença à marcher, les pieds enfoncés dans le sable chaud. Elle savait que le désert était plein de dangers, mais elle était déterminée à les affronter. Elle allait trouver un moyen de survivre et de réussir sa quête, quoi qu’il arrive.
Après plusieurs heures de marche, Lilia décida de se reposer et de prendre un moment pour réfléchir à ce qu’elle devait faire ensuite. Elle s’assit sur une dune de sable et regarda autour d’elle, cherchant un indice ou un signe qui pourrait l’aider.
Alors qu’elle était assise là, elle remarqua que le soleil commençait à se coucher, projetant une lumière dorée sur le désert. Elle se sentit un peu plus calme et se mit à réfléchir à ce qu’elle avait fait jusqu’à présent.
Elle pensa à son voyage dans le monde des fées, à la rencontre avec la reine Gloriana et à la quête du premier fragment. Elle pensa à son voyage dans le monde de Zandoria et à la découverte du désert.
Alors qu’elle réfléchissait, elle entendit un bruit lointain. C’était un bruit de pas, qui se rapprochait de plus en plus. Lilia se leva et regarda autour d’elle, cherchant à voir qui ou quoi pouvait faire ce bruit.
Lilia se cacha derrière une dune de sable et attendit que la personne passe à côté d’elle. Après quelques minutes, elle vit une petite créature émerger. Mais à sa grande surprise, ce n’était pas une personne, mais une sorte de grosse souris toute mignonne.
La souris était si rapide qu’elle semblait presque voler sur le sable. Lilia se releva, surprise, et la souris s’enfuit à une vitesse impressionnante. Lilia ne put s’empêcher de rire de la situation.
Lilia : « Décidément, dès que j’arrive dans un monde, tout le monde s’enfuit. », se dit-elle en souriant.
Elle continua à marcher dans le désert, alors que la nuit tombait. Le ciel était rempli d’étoiles et deux lunes projetaient une lumière bleutée sur le sable. Lilia se sentait un peu plus calme, malgré la fatigue et la faim qui commençaient à se faire sentir.
Elle marcha pendant des jours, les pieds enfoncés dans le sable, jusqu’à ce qu’elle voie une lumière lointaine. C’était une petite oasis, avec des palmiers et un petit bassin d’eau. Lilia se sentit soulagée et se dirigea vers l’oasis, espérant trouver un peu de repos et de nourriture.
Lilia s’approcha de l’oasis et remarqua des arbres bizarres qu’elle ne connaissait pas. Les arbres avaient des fruits qui pendaient de leurs branches, et Lilia se sentit attirée par leur apparence. Elle avait tellement faim qu’elle s’empressa de croquer dans l’un des fruits.
Le fruit était vert à l’extérieur et orange à l’intérieur, et il était très juteux. Sa saveur était un mélange entre la douceur d’un melon et une légère acidité rappelant l’agrume. Les sucs du fruit coulaient sur ses doigts et son menton, laissant des traces collantes. Lilia en mit partout, sur son visage, ses mains et ses vêtements. Elle se sentit un peu gênée, mais elle était trop occupée à savourer le goût du fruit pour s’en soucier.
Après avoir mangé à satiété, Lilia décida de se reposer à l’oasis pendant quelques jours. Elle espérait que peut-être elle croiserait quelqu’un avec qui parler, et qu’elle pourrait enfin obtenir des réponses à ses questions.
Elle s’allongea sous l’un des arbres aux feuilles larges, dont l’ombre la protégeait du soleil intense de Zandoria. Les bruits de l’oasis étaient apaisants : le murmure du petit ruisseau, le chant des oiseaux exotiques et le bruissement des feuilles. Elle se laissa bercer par le bruit du vent qui soufflait à travers les feuilles.
Pendant les jours qui suivirent, Lilia passa son temps à se reposer, à manger des fruits et à boire de l’eau froide et claire du bassin. Elle commença à se sentir un peu plus forte et un peu plus en forme, et elle se mit à explorer l’oasis. Elle décida de suivre le petit ruisseau, qui la mena à de nouvelles parties de l’oasis où elle découvrit des plantes médicinales et des fleurs exotiques. Certaines fleurs brillaient même légèrement dans l’obscurité de la nuit, ajoutant une touche de magie à l’endroit.
Elle découvrit que l’oasis était plus grande qu’elle ne l’avait pensé, et qu’il y avait des tas de choses intéressantes à voir. Elle vit des oiseaux aux plumes iridescentes qui changeaient de couleur selon l’angle de la lumière. Des insectes colorés aux motifs hypnotiques vrombissaient autour des plantes. Elle trouva aussi une petite grotte naturelle où elle décida d’installer un camp de fortune avec des feuilles et des branches pour y passer les nuits.
Mais malgré la beauté de l’oasis, Lilia ne put s’empêcher de se sentir un peu seule. Elle avait espéré rencontrer quelqu’un avec qui parler, quelqu’un qui pourrait lui donner des informations ou lui tenir compagnie, mais jusqu’à présent, elle n’avait vu personne. Le silence de l’oasis était parfois angoissant, et elle se surprit à parler aux oiseaux ou aux insectes comme s’ils pouvaient lui répondre.
Un soir, alors qu’elle s’apprêtait à s’endormir sous les étoiles et les deux lunes bleutées de Zandoria, Lilia entendit de nouveau des pas approchant doucement, cette fois plus lourds et plus rythmiques que ceux de la souris. Elle se redressa et scruta l’obscurité, son cœur battant à tout rompre. Peut-être, enfin, allait-elle rencontrer une âme vivante…
Lilia décida d’établir un camp de fortune à l’oasis, espérant que le repos et la tranquillité lui permettraient de se ressourcer. Elle utilisa des branches et des feuilles pour créer un abri simple, et se servit de ses vêtements pour créer une couche de protection contre le soleil.
Elle se souvint des conseils de Skarn, un humain qu’elle avait rencontré par le passé, qui lui avait appris l’importance de porter des vêtements en multi-couche pour réguler sa température corporelle. Elle transforma donc ses vêtements en multi-couche, créant un espace d’air entre les différentes couches pour éviter la chaleur excessive.
Lilia passa les jours suivants à se reposer et à se ressourcer à l’oasis. Elle buvait de l’eau, mangeait des fruits et se reposait à l’ombre de son abri. Elle se sentait un peu plus en forme, mais son cristal restait toujours peu scintillant, ce qui la préoccupait.
Elle se demandait si elle avait fait quelque chose de mal, ou si elle avait oublié quelque chose d’important. Mais elle ne savait pas quoi faire pour résoudre le problème.
Pendant son séjour à l’oasis, Lilia remarqua que les animaux du désert semblaient l’accepter comme l’un des leurs. Les oiseaux venaient se poser sur son épaule, et les insectes volaient autour d’elle sans la déranger. Elle se sentait un peu plus en paix, mais elle savait qu’elle ne pouvait pas rester à l’oasis éternellement.
Un soir, alors que le crépuscule enveloppait l’oasis de teintes dorées et que l’air se refroidissait, Lilia entendit à nouveau des pas. Cette fois, le bruit était plus lourd et plus déterminé. Elle se redressa dans son abri de fortune, son cœur battant à tout rompre. Peut-être, enfin, allait-elle rencontrer quelqu’un qui pourrait l’aider dans sa quête et répondre à ses questions encore non élucidées.
Lilia se redressa dans son abri de fortune, son cœur battant à tout rompre. Elle regarda autour d’elle, essayant de voir qui ou quoi pouvait faire ce bruit. Le crépuscule enveloppait l’oasis de teintes dorées, et l’air se refroidissait, créant une atmosphère mystérieuse et intrigante.
Elle vit une silhouette émerger de l’obscurité, une silhouette massive et imposante qui semblait remplir l’espace. Lilia se sentit un peu intimidée, mais elle se rappela qu’elle avait affronté des défis encore plus grands dans son passé.
La silhouette s’approcha, et Lilia vit que c’était un homme, un homme grand et fort, avec des muscles saillants sous sa peau bronzée. Il avait des yeux profonds et des cheveux noirs, et il portait une épée à son côté.
Lilia se sentit un peu plus en confiance, car elle voyait que l’homme n’avait pas l’air hostile. Il s’approcha d’elle, et elle vit qu’il avait un sourire sur son visage.
Arin : « Bonjour, » dit-il, avec une voix profonde et chaude. « Je m’appelle Arin. Et vous êtes…? »
Lilia se sentit un peu surprise, car elle ne s’attendait pas à ce que l’homme soit aussi poli et courtois. Elle se présenta, et Arin s’assit à côté d’elle, regardant autour de lui avec curiosité.
Arin : « Qu’est-ce que vous faites ici? » demanda-t-il, avec un ton de curiosité.
Lilia expliqua sa situation, et Arin écouta attentivement, son visage reflétant son intérêt. Lorsqu’elle eut fini, il hocha la tête.
Arin : « Je pense que je peux vous aider, » dit-il. « Je connais ce monde, et je sais où vous pouvez trouver ce que vous cherchez. »
Lilia se sentit un peu plus espérante, car elle voyait que Arin semblait sincère et déterminé. Elle se demanda si elle pouvait vraiment lui faire confiance, mais elle décida de lui donner une chance.
Lilia et Arin passèrent plusieurs jours à l’oasis, rassemblant des provisions et de l’eau dans les jarres en terre cuite. Pendant ce temps, ils se présentèrent et discutèrent de leurs aventures respectives. Lilia raconta à Arin son voyage dans le premier monde de glace, et il fut fasciné par ses histoires de neige et de glace. Arin, en revanche, n’avait jamais vu de sa vie ce qu’elle nommait « neige ».
Ils discutèrent également de la quête des fragments, et Lilia apprit qu’Arin cherchait aussi le lieu du fragment. Il lui expliqua que le fragment était une légende de son peuple, mais que personne ne connaissait l’emplacement exact du sanctuaire. Il savait que le sanctuaire était situé dans un lieu tropical avec beaucoup de plantes diverses et médicinales, mais il n’avait aucune idée d’où cela pouvait être.
Cependant, Arin était convaincu qu’avec l’aide de Lilia et de son cristal magique, ils allaient réussir à trouver le sanctuaire et le fragment. Il pensait que chacun y trouverait son compte, et que leur collaboration serait bénéfique pour les deux.
Après avoir discuté de leur plan, ils décidèrent de partir le lendemain matin en direction du sud. Ils préparèrent leur équipement et leurs provisions, et se mirent en route à l’aube.
Lilia monta sur l’ourakina, le zèbre du désert, et Arin la suivit à pied. Ils avancèrent dans le désert, laissant l’oasis derrière eux. Le soleil était déjà haut dans le ciel, et la chaleur commençait à devenir intense.
Les mois passèrent, et Lilia et Arin continuèrent à avancer sans relâche dans le désert en direction du sud. Ils allaient d’oasis en oasis, cherchant refuge dans les palmiers et les sources d’eau qui les protégeaient du soleil brûlant.
Ils traversèrent des dunes de sable immenses, des tempêtes de sable, des plaines arides et des montagnes rocheuses. Le désert était cruel et impitoyable, mais ils étaient déterminés à atteindre leur objectif.
Ils vécurent de leurs provisions et de l’eau qu’ils trouvaient dans les oasis. Ils chassèrent des animaux du désert pour se nourrir, et utilisèrent les plantes médicinales pour soigner leurs blessures.
Malgré les difficultés, ils ne perdirent jamais espoir. Ils étaient convaincus que leur quête était importante, et qu’ils allaient finir par trouver le sanctuaire et le fragment.
Au fil des mois, ils devinrent de plus en plus proches. Ils partageaient leurs histoires, leurs rêves et leurs espoirs. Ils se soutenaient mutuellement, et se protégeaient les uns les autres.
Lilia apprit à connaître Arin, son courage, sa détermination et sa gentillesse. Elle vit en lui un véritable ami, et un compagnon de route qui la soutenait dans ses moments de faiblesse.
Arin, de son côté, fut impressionné par la force et la résilience de Lilia. Il vit en elle une véritable guerrière, qui ne reculait devant rien pour atteindre ses objectifs.
Ensemble, ils formaient une équipe invincible, prête à affronter tous les défis que le désert leur lançait.
Et ainsi, ils continuèrent à avancer, sans relâche, vers le sud, vers le sanctuaire et le fragment. Ils étaient convaincus que leur quête était importante, et qu’ils allaient finir par trouver ce qu’ils cherchaient.
Lilia et Arin marchaient dans la nuit, guidés par la lune et les étoiles, lorsqu’ils furent soudainement éblouis par une lumière intense. Le cristal que Lilia portait autour de son cou s’était mis à briller de mille feux, émettant une lumière chaude et rassurante qui illuminait le désert tout autour d’eux.
Lilia et Arin furent surpris et émerveillés par cette soudaine explosion de lumière. Ils s’arrêtèrent net et regardèrent le cristal avec étonnement, essayant de comprendre ce qui se passait.
La lumière du cristal était si intense qu’elle éclairait les dunes de sable et les rochers alentour, créant des ombres étranges et fantastiques. Lilia et Arin se sentaient comme s’ils étaient au centre d’un petit soleil, avec la lumière du cristal rayonnant de tous côtés.
Lilia, qui avait toujours senti une connexion spéciale avec le cristal, se sentit particulièrement attirée par la lumière. Elle tendit la main et toucha le cristal, sentant une énergie puissante et apaisante qui semblait provenir de l’intérieur même de la pierre.
Arin, qui regardait Lilia avec curiosité, vit que son visage était illuminé par la lumière du cristal. Il vit que ses yeux brillaient d’un éclat surnaturel, et que son expression était celle de quelqu’un qui est en train de découvrir un secret profond et important.
Arin : « Qu’est-ce que cela signifie? » demanda-t-il, sa voix à peine audible au-dessus du bruit de la lumière.
Lilia ne répondit pas immédiatement. Elle était trop occupée à absorber l’énergie du cristal et à comprendre ce qui se passait. Mais après un moment, elle se tourna vers Arin et sourit.
Lilia : « Je pense que nous sommes proches, » dit-elle, sa voix pleine d’excitation. « Je pense que nous sommes sur le point de trouver ce que nous cherchons. »
Lilia et Arin suivirent la lumière du cristal, qui les guidait à travers le canyon désertique. Au fil des semaines, la végétation commença à devenir de plus en plus dense et l’air plus humide. Ils se trouvaient désormais dans une région beaucoup plus verte et luxuriante que le désert aride qu’ils avaient quitté.
Arin, qui avait déjà abandonné la plupart de ses vêtements, se sentait à l’aise dans la chaleur et l’humidité de la région. Il marchait nu-pieds, son corps bronzé par le soleil, et son seul vêtement était un petit pagne qui lui couvrait les hanches.
Lilia, en revanche, avait choisi de se dévêtir dans la limite du raisonnable. Elle portait un bikini deux pièces qui lui permettait de se sentir à l’aise et libre dans la chaleur. Elle avait abandonné ses chaussures et marchait nu-pieds, ses pieds doux et sensibles à chaque pas.
Le chemin qu’ils suivaient était escarpé et étroit, et ils durent laisser leur monture, l’ourakina, proche d’un petit lac. Ils continuèrent leur voyage à pied, leurs sens en alerte pour détecter les dangers potentiels de la région.
Au fur et à mesure qu’ils avançaient, la végétation devenait de plus en plus dense et la lumière du cristal de plus en plus intense. Ils se sentaient comme s’ils étaient sur le point de découvrir un secret caché, un secret qui les attendait depuis des semaines de marche.
Soudain, le chemin s’ouvrit sur une clairière, et Lilia et Arin se trouvèrent face à une vision qui les laissa sans voix. Devant eux se dressait un temple majestueux, ses murs couverts de lianes et de fleurs, et son toit qui semblait toucher le ciel.
Lilia et Arin se regardèrent l’un l’autre, leurs yeux brillant d’excitation et de curiosité. Ils décidèrent d’explorer les alentours du temple pour voir s’ils pouvaient trouver des indices ou des dangers potentiels.
Lilia : « Je vais aller voir ce qui se trouve derrière le temple, » dit-elle, en se dirigeant vers l’arrière du bâtiment.
Arin : « Je vais aller voir si je peux trouver une entrée. » répondit-il, en se dirigeant vers la façade du temple.
Lilia contourna le temple, ses pieds nu-pieds faisant des bruits de craquement sur les feuilles sèches qui jonchaient le sol. Elle remarqua que les murs du temple étaient couverts de lianes et de fleurs, et que les ouvertures étaient ornées de sculptures complexes.
Elle arriva à l’arrière du temple et vit que c’était un jardin magnifique, avec des fleurs de toutes les couleurs et des arbres qui semblaient avoir été plantés là pour créer un effet de perspective. Elle vit également un petit bassin d’eau, avec des poissons qui nageaient dans les profondeurs.
Lilia : « Arin, viens voir cela! » cria-t-elle, en se dirigeant vers le bassin.
Arin arriva quelques instants plus tard, son visage couvert de sueur et ses cheveux en désordre.
Arin : « Qu’est-ce que c’est? » demanda-t-il, en regardant le bassin.
Lilia : « Un jardin, » répondit-elle, en souriant. « Et regarde, il y a des poissons dans le bassin. »
Arin se pencha pour regarder les poissons, et Lilia vit que son visage s’était détendu.
Arin : « C’est magnifique, » dit-il, en se redressant. « Je me sens comme si j’étais dans un paradis. »
Lilia sourit, en se sentant heureuse de voir son ami si détendu.
Lilia : « Je sais ce que tu veux dire, » dit-elle. « Je me sens comme si j’étais chez moi. »
Ils restèrent là pendant quelques instants, en regardant le jardin et en se sentant heureux. Puis, Arin se tourna vers Lilia.
Arin : « On devrait aller voir si on peut trouver une entrée, » dit-il.
Lilia hocha la tête, en se dirigeant vers la façade du temple.
Lilia : « Oui, allons-y, » dit-elle.
Ils se dirigèrent vers la façade du temple, leurs cœurs battant d’excitation et de curiosité. Qu’allait-il se passer une fois qu’ils seraient à l’intérieur?
Lilia et Arin se regardèrent l’un l’autre, leurs yeux brillant d’excitation et de curiosité. Ils décidèrent d’entrer dans le temple, pour découvrir les secrets qui s’y trouvaient.
Ils s’approchèrent de la façade du temple, et Lilia remarqua que les portes étaient ouvertes, comme si elles les attendaient. Elle hésita un instant, puis se décida à entrer.
Lilia : « Après toi, » dit-elle à Arin, en lui faisant un geste pour qu’il la suive.
Arin sourit, et entra dans le temple derrière Lilia. Ils se trouvèrent dans un grand hall, avec des colonnes qui soutenaient le plafond. Le hall était éclairé par des torches, qui projetaient des ombres sur les murs.
Lilia et Arin regardèrent autour d’eux, en essayant de prendre en compte tout ce qui les entourait. Ils virent des statues de dieux et de déesses, qui semblaient les regarder avec des yeux de pierre.
Arin : « Wow,” dit-il, en s’approchant d’une des statues. « C’est incroyable. Je n’ai jamais vu rien de pareil. »
Lilia sourit, en se joignant à lui.
Lilia : « Je sais ce que tu veux dire, » dit-elle. « C’est comme si on était dans un autre monde. »
Ils continuèrent à explorer le temple, en découvrant des salles et des corridors qui semblaient ne jamais finir. Ils trouvèrent des fresques qui représentaient des scènes de la vie quotidienne, et des inscriptions qui racontaient l’histoire du temple.
Au fur et à mesure qu’ils avançaient, Lilia et Arin se sentaient de plus en plus excités. Ils avaient l’impression de découvrir des secrets qui avaient été cachés pendant des siècles.
Soudain, ils entendirent un bruit qui venait de l’étage supérieur. C’était un bruit qui semblaient descendre vers eux.
Arin : « Qu’est-ce que c’est? » demanda Arin, en se tournant vers Lilia.
Lilia haussa les épaules.
Lilia : « Je ne sais pas, » dit-elle. « Mais je pense que nous allons bientôt le savoir. »
Lilia et Arin montèrent à l’étage supérieur, leurs cœurs battant d’excitation et de curiosité. Ils arrivèrent dans une salle où ils virent une machine mécanique ancienne qui semblait être en état de fonctionnement. À leur surprise, la machine ne semblait pas être hostile, elle était plutôt fascinante et intrigante.
Lilia aperçut une ouverture proche de la machine, qui semblait mener à une autre salle. Elle sentit également une odeur de soufre volcanique qui provenait de l’ouverture. Plus loin, elle vit une source chaude qui semblait être un endroit idéal pour se reposer et se détendre.
Arin décida d’aller examiner la machine et la salle, tandis que Lilia décida de se reposer dans la source chaude. Elle se sentait fatiguée et avait besoin de se détendre un peu.
Lilia se dirigea vers la source chaude et commença à se détendre. Elle se glissa dans l’eau chaude et se laissa aller à la chaleur et à la relaxation.
Pendant que Lilia se reposait, Arin continua à explorer la machine et la salle. Il découvrit des mécanismes et des pièces qui semblaient être très anciens et très complexes. Il était fasciné par la machine et essayait de comprendre comment elle fonctionnait.
Au bout d’un moment, Arin revint vers Lilia et la trouva toujours dans la source chaude. Il sourit en la voyant et se sentit un peu gêné de la voir nue.
Arin : « Lilia, je suis désolé de te déranger, » dit-il. « Je vais aller explorer un peu plus loin et te laisser profiter de la source chaude. »
Lilia sourit et lui fit un signe de la main.
Lilia : « Ne t’inquiète pas, Arin, » dit-elle. « Je suis bien ici. Vas-y et explore un peu plus loin. »
Arin hocha la tête et s’en alla, laissant Lilia profiter de la source chaude et de l’intimité.
Lilia décida de continuer à se reposer dans la source chaude et de profiter de l’intimité. Elle ferma les yeux et se laissa aller à la chaleur et à la relaxation. Les minutes passèrent lentement, et Lilia se sentit de plus en plus détendue.
Cependant, après deux heures dans le bain, sa peau commença à se fripper et elle se sentit un peu gênée. Elle décida de se rhabiller et d’aller chercher Arin. Elle sortit de la source chaude et se sécha avec une serviette qu’elle avait trouvée dans la salle.
Lilia se rhabilla rapidement et se sentit plus à l’aise. Elle se regarda dans le reflet de l’eau et se sourit. Elle se sentait fraîche et détendue, prête à continuer l’aventure.
Elle quitta la salle et se dirigea vers la machine mécanique où elle avait laissé Arin. Elle l’appela, mais il ne répondit pas. Elle se sentit un peu inquiète et décida de le chercher.
Lilia se dirigea vers la machine et vit que Arin était assis à côté d’elle, les yeux fixés sur un petit écran qui s’était allumé sur la machine. Il semblait être en train de lire quelque chose et ne l’avait pas entendue arriver.
Lilia : « Arin, qu’est-ce que tu fais? » demanda-t-elle en s’approchant de lui.
Arin se tourna vers elle et sourit.
Arin : « Je suis en train de lire un message qui a été laissé sur la machine, » dit-il. « Il semble que nous sommes sur la bonne voie pour trouver le fragment. »
Lilia se sentit excitée et se pencha pour lire le message avec Arin, mais elle n’arrivait pas à le lire. Arin traduisit alors le texte à Lilia.
Arin : « Le message dit que le fragment se trouve dans la Salle des Anciens, située au cœur de ce temple. Il y a également une sorte de carte qui montre le chemin à suivre pour y arriver. »
Lilia : « C’est fantastique ! » s’exclama-t-elle, une lueur d’anticipation dans les yeux. « Nous devons nous y rendre immédiatement. Le fragment est peut-être à portée de main. »
Ils étudièrent ensemble la carte affichée sur l’écran. Après avoir mémorisé le chemin à suivre, Arin et Lilia prirent une profonde inspiration et se préparèrent à continuer leur exploration, déterminés à découvrir la fameuse Salle des Anciens et, peut-être, le fragment tant recherché.
Lilia et Arin continuèrent à avancer dans le temple, mais à mesure qu’ils progressaient, ils remarquèrent que l’architecture et la décoration du temple changeaient. Les murs de pierre et les colonnes s’étaient transformés en métal rouillé et en câbles électriques. Arin était perdu, il ne comprenait pas comment un temple ancien pouvait contenir des éléments aussi modernes.
Arin : « Qu’est-ce que c’est que tout cela? » demanda-t-il, en regardant autour de lui avec confusion.
Lilia haussa les épaules.
Lilia : « Je ne sais pas, mais je pense que nous sommes sur la bonne voie. Le cristal nous guide. »
Après quelques heures de marche dans ce labyrinthe, ils arrivèrent enfin dans une pièce qui semblait être le cœur du temple. Au centre de la pièce, il y avait un cercle et un piédestal. Lilia se sentit attirée par le piédestal et elle y posa le cristal.
Soudain, une porte s’ouvrit avec un bruit métallique, et Lilia et Arin virent le fragment posé dessus. Il était plus beau que Lilia ne l’avait imaginé, avec des couleurs et des formes qui semblaient défier la gravité.
Lilia : « Nous l’avons trouvé, » dit-elle, avec un sourire de triomphe.
Arin hocha la tête, il était émerveillé par la beauté des lieux. Puis il se tourna vers Lilia avec une expression de réflexion.
Arin : « Vas-tu repartir d’où tu viens ? » demanda-t-il, honnêtement curieux.
Lilia prit un moment pour réfléchir. Les nombreux souvenirs de ses aventures précédentes, ainsi que la force de sa quête, tourbillonnaient dans son esprit. Elle savait que retourner chez elle serait rassurant, mais elle sentait aussi qu’il restait tant à accomplir dans ce monde.
Lilia et Arin se regardèrent l’un l’autre, leurs yeux brillant de satisfaction et de gratitude. Ils avaient enfin obtenu le fragment, et Lilia savait que cela la rapprochait de son objectif intime et profond.
Lilia : « Arin, je suis si heureuse que nous ayons trouvé ce fragment, » s’exclama-t-elle avec un enthousiasme débordant. « Cela m’apporte enfin des réponses sur mon héritage elfique. »
Arin haussant un sourire intrigué, son regard scrutateur. « Des réponses ? Que veux-tu dire par là ? »
Lilia se tourna vers lui, les yeux brillants d’une détermination renouvelée.
Lilia : « Ces fragments, une fois réunis, pourraient révéler les mystères de mon passé, éclaircir l’histoire de mon peuple et dévoiler des secrets sur mon héritage. Je suis impatiente de découvrir toutes ces vérités. »
Arin hocha la tête avec un air contemplatif, ses pensées virevoltant.
Arin : « Je comprends. C’est une quête noble. Je suis heureux d’avoir pu t’aider à obtenir ce fragment, Lilia. Et, si tu le permets, j’aimerais continuer à t’accompagner, découvrir ces vérités à tes côtés. »
Lilia lui sourit avec une profonde gratitude. Sa main effleura doucement celle d’Arin pour exprimer sa reconnaissance.
Lilia : « Merci, Arin. Ta compagnie sur ce voyage est précieuse, et je serais ravie que tu continues cette aventure avec moi. »
Ils prirent un moment pour apprécier l’ampleur de ce qu’ils avaient accompli. Le fragment scintillait doucement entre leurs mains, comme une promesse d’avenir et de découvertes à venir.
Quelques instants plus tard, Arin reprit la parole, son ton curieux et réfléchi.
Arin : « Mais maintenant que ce fragment est entre nos mains, quelle est la prochaine étape ? As-tu une idée de l’endroit où nous devons nous rendre ? »
Lilia réfléchit un instant, passant en revue les cartes et écrits anciens qu’elle avait consultés avant de partir à l’aventure.
Lilia : « Je pense que nous devons retrouver le dernier fragment. Les fragments précédents nous ont amenés jusqu’ici, et je suis persuadée que celui-ci nous guidera vers notre prochaine destination. Le chemin est encore long, mais avec toi à mes côtés, je sais que nous réussirons. »
Les mois passèrent, et Lilia et Arin avancèrent côte à côte à travers le désert torride. Le soleil ardent brûlait sans relâche, et leurs pas laissaient des empreintes profondes sur le sable chaud. Ils se soutenaient mutuellement, partageant les provisions d’eau et de nourriture, et rêvaient des jours passés dans l’oasis luxuriante. Les tempêtes de sable impitoyables rendaient chaque pas difficile, mais leur détermination ne faiblissait pas.
Leur voyage les mena à travers des dunes infinies, des plaines arides et des montagnes rocailleuses. La chaleur intense les éreinta, mais ils persévérèrent Avec des moments de chaque lever et coucher de soleil qui marquaient leur progression. Chaque oasis rencontrée était un soulagement bienvenu, un havre de paix où ils pouvaient se reposer et se ressourcer. Parfois, ils campaient sous un ciel étoilé, se réconfortant mutuellement avec des histoires et des rires, trouvant un peu de répit dans ce désert impitoyable.
Finalement, après six mois de voyage compliqué et harassant, Lilia et Arin atteignirent l’emplacement exact du portail par lequel Lilia était arrivée. Ils se trouvaient à nouveau devant une étendue de sable apparemment ordinaire. Lilia chercha désespérément un signe du portail, mais il n’était plus là. La réalité de sa situation s’abattit sur elle : elle était bloquée dans ce monde.
Lilia : « Le portail… Il n’est plus là, » murmura-t-elle, submergée par le choc et la déception.
J’ai testé la création de vidéo mais je trouve qu’il y a encore du boulot !
Arin posa une main réconfortante sur son épaule.
Arin : « Lilia, ne te décourage pas. Même si le portail n’est plus là, tu n’es pas seule ici, » dit-il d’une voix douce. « Je t’invite à venir chez moi, dans la grande ville désertique de Zanaris. Là-bas, tu pourras trouver du réconfort et nous pourrons chercher une solution ensemble. »
Lilia leva les yeux vers Arin, adoucie par ses paroles. Elle sentit un nouvel élan de courage et de détermination renaître en elle. Lilia sourit doucement, reconnaissante pour cette nouvelle opportunité et leur amitié inébranlable.
Lilia : « Merci, Arin. Allons à Zanaris, et voyons ce que l’avenir nous réserve. »
Et avec ces mots, Lilia et Arin reprirent leur route, déterminés et ayant foi en leur prochaine aventure, prêts à affronter les défis à venir ensemble.
Pendant 35 ans, Lilia vécut à Zanaris en compagnie de Arin, bâtissant une vie empreinte de découvertes, de savoirs et d’amitiés dans cette grande ville désertique. La ville elle-même était un kaléidoscope de cultures et de traditions, un lieu où l’ancien et le moderne cohabitaient harmonieusement. Les marchés vibrants de couleurs, les ruelles sinueuses et les architectures aux ornements exotiques offraient à Lilia une source infinie d’émerveillement et d’étonnement.
Leur maison, située dans un quartier paisible de la ville, était un sanctuaire de tranquillité. Lilia avait décoré les murs de cartes anciennes et de peintures représentant les paysages de Zanaris et de ses terres environnantes. Arin passait des heures à entretenir leur jardin, plantant des fleurs et des plantes locales qui ajoutaient une touche de verdure et de couleur à leur domicile.
Les journées de Lilia étaient remplies de quêtes et de recherches incessantes pour trouver un nouveau portail. Elle passait des heures dans les bibliothèques, feuilletant des manuscrits anciens et des parchemins jaunis par le temps. Lilia apprit à lire plusieurs langues anciennes pour déchiffrer les mystères cachés dans les textes. Ses conversations avec les sages, les érudits et les sorciers locaux l’enrichissaient non seulement en information, mais en culture et en connaissance des légendes de ce monde.
Durant ces années, Arin était son compagnon dévoué. Bien qu’ils ne se marièrent jamais ni n’eurent d’enfants ensemble, leur union était profonde et inébranlable. Il l’accompagnait souvent dans ses expéditions, explorant des ruines oubliées et des recoins inhabités de Zanaris. Leur amitié et leur compagnonage forgeaient une force inébranlable face aux défis qu’ils rencontraient.
Les soirs, après des journées remplies de découvertes, ils se retrouvaient sur la terrasse de leur maison, partageant des repas simples mais délicieux sous un ciel étoilé. Ils parlaient des légendes de leurs peuples, de leurs espoirs et de leurs rêves, trouvant toujours de nouvelles choses à dire malgré les décennies passées ensemble. Lilia trouvait du réconfort dans les yeux de Arin, et Arin trouvait du courage dans la détermination de Lilia.
Cependant, le temps apporta son lot de défis. Arin commença à montrer des signes de fatigue et de faiblesse. Il fut finalement diagnostiqué avec une maladie incurable. Lilia veilla à son chevet, lui apportant tout le réconfort et l’amour qu’elle pouvait. Malgré la douleur de le voir souffrir, elle resta forte pour lui, tenant sa main jusqu’à son dernier souffle.
La mort de Arin la laissa dévastée mais pas sans but. Avec les souvenirs de leurs aventures partagées et les nombreux indices qu’elle avait recueillis, Lilia se lança dans une nouvelle quête. Elle se rappela des cartes et des textes parlant d’un autre continent au nord, Nyrath, où les portails ancestraux seraient encore actifs.
Préparant méticuleusement son départ, Lilia fit ses adieux à Zanaris. La ville, qui avait été son refuge pendant tant d’années, serait à jamais gravée dans son cœur. Elle fit ses adieux aux nombreux amis qu’elle s’était faits, emportant avec elle les souvenirs précieux de sa vie avec Arin.
Avec une boussole pointée vers le nord et un cœur rempli d’espoir et de résilience, Lilia se mit en route vers Nyrath. La quête du portail de retour était encore loin d’être terminée, mais elle était prête à affronter tous les défis sur son chemin, déterminée à découvrir les secrets de son héritage elfique et à trouver un moyen de rentrer chez elle.
Lilia continua son voyage vers Nyrath, déterminée à trouver le portail qui la ramènerait chez elle. Sur le chemin, elle rencontra de nombreuses personnes aimables qui l’aidèrent et la soutinrent dans son périple. Des commerçants, des villageois et des érudits l’accueillirent chaleureusement, lui offrant des informations précieuses, des provisions et même de l’hospitalité.
Parmi ces rencontres bienveillantes, il y avait Elara, une guérisseuse qui accompagnait Lilia pendant plusieurs semaines, partageant ses connaissances sur les plantes médicinales et les remèdes naturels. Elara et Lilia formèrent rapidement un lien fort, échangeant des histoires de leurs mondes respectifs et se soutenant dans les moments difficiles.
Cependant, la route était également semée d’embûches, et Lilia croisa des barbares sanguinaires cherchant à lui nuire. Heureusement, elle était devenue une grande guerrière au fil des années. Agile et très adroite, elle savait manier ses deux dagues avec une grande précision et avait appris à utiliser sa magie de lumière pour distraire ses ennemis et les désorienter.
Lors d’une rencontre particulièrement périlleuse avec une bande de maraudeurs, Lilia fit preuve de sa bravoure et de son habileté au combat. En utilisant sa magie pour créer des éclats de lumière aveuglants, elle désorienta ses adversaires. Puis, avec des mouvements fluides et précis, elle neutralisa ses assaillants les uns après les autres, se frayant un chemin hors de l’embuscade.
Avec ses compétences et son courage, Lilia put se défendre contre les barbares et continua son voyage. Elle traversa des montagnes escarpées, où les sentiers sinueux et périlleux mettaient à l’épreuve sa détermination. Dans ces hauteurs, elle rencontra Thyla, une exploratrice montagnarde qui l’aida à naviguer à travers les pics dangereux et lui apprit à lire les signes de la nature sauvage.
Ensuite, Lilia affronta des forêts sombres, où les arbres millénaires murmuraient des secrets oubliés. Elle fit la connaissance de Kiran, un druide local qui lui enseigna à communier avec la faune et la flore, renforçant ainsi sa connexion avec la nature et sa propre magie.
Elle parcourut également des déserts brûlants, où la chaleur implacable la poussait à ses limites. Dans ces étendues arides, elle retrouva des nomades robustes, guidés par le sage Sayed, qui lui enseigna les secrets de la survie dans des environnements hostiles et l’initia à des techniques de combat uniques à leur tribu.
Après un an de voyage ponctué de dangers et d’alliances fortuites, Lilia arriva enfin à Nyrath. La ville était un mélange d’anciennes ruines et de structures modernes, une fusion d’époques qui témoignait de son histoire complexe. Elle se dirigea vers une allée sombre et humide, guidée par les indices qu’elle avait accumulés au fil des années.
Au bout de cette allée, se trouvait le portail, brillant d’une lumière verdâtre mystérieuse. Lilia s’arrêta un instant, contemplant le seuil qui la ramènerait chez elle. Elle prit une profonde inspiration, ressentant le poids de son voyage et la joie imminente de son retour.
Elle savait qu’elle avait encore beaucoup à faire et à découvrir, mais elle était prête à affronter les défis qui l’attendaient. Lilia avança d’un pas assuré vers le portail, déterminée à retrouver son monde, sa sœur Amélie ses amis.